La RDC ressemble à un bordel où la prostituée invite tout passant pour se laisser emporter par la volupté. Une fois l’invité à l’intérieur, il peut se comporter en maître de séant et peut prolonger son séjour au grés de sa virilité et ses capacités financières. Si la prostituée a des enfants, ils vont s’apitoyer sur leur sort.
C’est dans ce pays où on trouve des armées des presque tous les pays du monde. Certains sont là à titre individuel pour grignoter quelques kilomètres carrés des terres, c’est le cas de Angola et de la Zambie respectivement dans les provinces autrefois connues sous les noms de Bandundu et au Shaba. D’autres pour avoir des soutien morale comme de la Russie avec ses mercenaires du groupe Wagner déployés au Nord-Kivu, pour combattre le M23. La RDC elle-même a plus de 200 milices tribales armées, parrainées par les FARDC pour déraciner le Banyamulenge.
D’autres pays y sont déployés dans un cadre international donné comme la Force régionale de l’Afrique de l’Est (EAC) ou la Communauté d'Afrique de l'Est, et la Mission de l'Organisation des Nations unies pour la stabilisation en république démocratique du Congo (MONUSCO).
La Force régionale de l’Afrique de l’Est (EAC) comprend sept pays Est-Africains, à savoir le Burundi, le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie, le Rwanda, le Soudan du sud ainsi que la République démocratique du Congo depuis le 8 avril 2022. Le Burundi y a un double agenda dont l’un semble occulte. Il est là d’abord dans le cadre privé d’une prétendue fraternité bantoue célébrée en mai 2022 par Évariste Ndayishimiye président du Burundi et Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de la RCD. Les FNDB disposent d’un effectif non connu de ses éléments au Sud-Kivu qui y opèrent conjointement avec les ARDC contre la communauté Banyamulenge dont on veut déraciner. Il est là ensuite dans le cadre de l’alliance de l’EAC qui a envoyé de militaires en RDC pour lutter uniquement contre le M23.
Au niveau mondiale, l’ONU est là à travers ses casques bleus, La Mission de l’Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUC) qui a été créée par la résolution du Conseil de sécurité n0 1279 du 30 novembre 1999, afin d’élaborer des plans en vue de l’observation du cessez-le-feu de Lusaka signé en juillet 1999 entre la République démocratique du Congo (RDC) et cinq États de la région (Angola, Namibie, Ouganda, Rwanda et Zimbabwe), et du désengagement des forces, et de maintenir la liaison avec toutes les parties à l´accord. Par une série de résolutions ultérieures, le Conseil étendra le mandat de la MONUC au contrôle de l’application de l’accord de cessez-le-feu et lui attribuera plusieurs autres tâches connexes.
Déjà en 2011, la MONUSCO était composée des ressortissants de 64 pays du monde dont la liste suit. Au fur des années, elle ne fait qu’accroitre son effectif. Nous ne savons plus combien des pays sont en RDC maintenant.
Liste des pays ayant envoyé des Soldats en RDC
L’Afrique, l’Algérie, le Bénin, le Bangladesh, la Belgique, la Bolivie, la Bosnie-Herzégovine, le Brésil, le Burkina Faso Burkina Faso, le Cameroun, le Canada, la République centrafricaine République centrafricaine, la République populaire, la Colombie, la Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire, le Danemark, l'Égypte Égypte, l'Espagne Espagne, les États-Unis, la France, le Ghana, le Guatemala, la Guinée , l'Inde Inde, l'Indonésie, l'Irlande, la Jordanie, le Kenya, le Madagascar, le Mali, le Malawi, la Malaisie, le Maroc, la Mongolie, la Mozambique, le Népal, le Niger, le Nigeria, la Norvège, l’Oman, le Pakistan, le Paraguay, le Pérou, les Philippines, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Russie, le Sénégal, la Serbie, le Sri Lanka, la Suède, la Suisse, la Tanzanie, le Tchad, le Togo, la Tunisie, la Turquie, l'Ukraine, l'Uruguay, Yémen, et la Zambie.
Avec l’arrivée prochaine des Angolais, l’Est de la RDC accueillera donc 18 contingents étrangers importants. Les principaux contingents présents dans cette région, Près de 2 000 Pakistanais, presque autant d’Indiens, plus de 1 600 militaires du Bangladesh, 1 185 Sud-Africains, 1 153 Népalais, un bon millier d’Indonésiens, 924 Marocains, 851 Tanzaniens, 826 Uruguayens et 747 Malawites, pour ne prendre que les dix principales nations présentes militairement. Si vous regardez du côté de la police onusienne, vous découvrez près de 500 Sénégalais, 350 Égyptiens et presque autant de Jordaniens.
De ce qui précède, On remarque très bien que toutes les armées qui s’y trouvent, sont là soit dans un cadre officiel bien défini soit sur invitation secrète bilatérale. Contrairement à ce que l’on fait croire au monde, que la RDC est envahie, c’est lui qui invite ou fait inviter toutes ses armées du monde. Et il n’y a pas que ces armées régulières, il a invite aussi des groupe rebelles des pays voisins qui y trouvent un bon terrain d’entrainement et une base arrière gratuite. Les panneaux cibles d’entrainement sont des personnes réelles : les tutsi du la RDC. Au Sud-Kivu, il y a les RED Tabara et les FNL aux prises avec le pouvoir de Bujumbura, et les FDLR contre le Rwanda. Au Nord-Kivu, il y a également les FDLR toujours avec les mêmes objectifs et les LRA de Joseph Kony qui rêve prendre Kampala et le ADF Nalu qui veulent instaurer un État islamique de part et d’autre de la frontière ugando-congolaise.
L’hébergement des terroristes en RDC et le phénomène de faire appel au armées étrangère sont monnaie courante. C’est une tradition qui date de l’époque de Mobutu. Les paras Belges, et Français et les Marocains y faisaient des tours et défilaient dans les rues pour calmer les pillages faites par les Forces armées zaïroises (FAZ) ou réprimer les gendarmes katangais. Les rebelle de L’UNITA de Savimbi y avaient érigé domicile.
Il serait naïf de croire bougrement que ces soldats venus des quatre coins du monde sont là laisser leurs peaux pour des énergumènes qui ne veulent pas voir leur pays se remettre. C’est avant tout une affaire de lucre comme tous les autres à caractère commercial où chacun tire la couverture sur soi. Cela parait encore plus alléchant quand il s’agit de le faire dans un pays paradis des richesses naturelles, mais sans loi ni ordre, pareil a une jungle non gouvernée.
Aujourd’hui c’est la MONUSCO et l’EAC, demain ce sera peut-être la SADEC et pourquoi pas le Boko Haram à l’instar de Wagner ? Qui s’ait s’il n’a pas tenté avec L’OTAN quand on sait que le pouvoir de Kinshasa est aux mains d’un homme sans scrupule ! Toutes ces armées viennent, trouvent des problèmes, rentrent chez elles ou s’éternisent en RDC, avec comme résultats, loin de calmer la situation, il y a escalade. A moins d’une solution miraculeuse de convertir le diable, on ne peut pas résoudre les problèmes d’un pays qu’il crée lui-même. Le mal congolais avant tout endogène, et c’est pourquoi, la solution doit être interne.
S’il en est ainsi, pourquoi le Rwanda et l’Ouganda et parfois le Burundi sont les plus pointés du doigt ? Se seraient ils invités seuls ? Auraient-ils pillé plus que les autres ? ont-ils des sites de gisements qu’ils exploitent comme laisse entendre Kinshasa ? Aune donnée fiable à ce sujet.
A notre connaissance, seules les grandes puissances ont le monopole d’exploiter les minerais de la RDC qui leur est conférée par la détention d’une technologie plus adaptée pour faire une exploitation à l’échelle industriel. A la tête viennent les compagnies des USA, de la chine, de la Belgique et d’Israël. Les Indiens et les Libanais ont d’innombrables comptoirs, donc Ils interviennent dans la chaine de commercialisation.
Ces pays accusés à tort ou à raison d’agresseurs, et d’exploitateurs de la richesse de la RCD ne semblent pas avoir des compagnies d’exploitation en RDC. Ce qui est vraisemblable au regard des tension entretenues à leurs égards. Il est impassable de croire qu’une compagnie rwandaise puisse survivre au vandalisme dans un environnement qui lui est si hostile. Tenant compte de cette situation, l’uniques voie possible c’est intervenir dans la chaine de commercialisation. En effet, ces pays sont l’unique issue de sortie pour les deux Kivu vers le monde extérieur. Ce qui est tout à fait correct. Va-t-on refuser un pays d’user de ses atouts?
Pourquoi alors s’acharner à eux alors que, si l’on considère leurs positions géographiques, ils sont cruciaux pour la survie de l’économie de la RDC principalement de grand Kivu ?
La raison est simple, dans un monde gangréné par la corruption et les idéologies génocidaires, les bienfaits et les méfaits ne comptent pas. Ce qui compte, c’est le facies, l’apparence ethnique. La haine qui aveugle les esprits est tellement forte au point d’agir stupidement.
Ces pays devenus bouc émissaires d’un conflit sans issu ont au sein de leur population les ethnies que la RDC veut proscrire sur son territoire. Les tutsi du Rwanda et les Hima de l’Uganda sont supposés être des cousins de Banyamulenge et de Banyabwisha qu’elle voudrait bien se débarrasser à tout prix. Il convient de souligner que la RDC a noué de fortes alliance d'entraide mutuelle avec les FDLR pour l’exécution du plan macabre de génocide dont ils ont forgé qui endeuille la région de Grands C’est d’ailleurs l’armée sur laquelle Desire Kabila et ses successeurs compte beaucoup aujourd’hui. En voulant en finir avec une partie de sa population et avec ses voisin n’est-elle pas en train de scier la branche sur laquelle elle est perchée?
Pour le reste, le Rwanda tout comme l’Uganda, à l’instar des autres pays, y ont été invités à à maintes reprises, et cela depuis le règne de Laurent Desire Kabila j’jusqu’à présent. Récemment, on a vu comment les forces ougandaises sont entrées triomphalement pour traquer les ADF Nalu avec leurs lourd armement sous les applaudissements des congolais. Un peu plus avant, c’était la même chose pour le RDF du Rwanda dans une opération conjointe appelée Umoja, puis Sokola. Les archives sont prêtes à craquer des accords de ce genre. Actuellement les forces du Burundi sont à Minembwe recevant directement des injonctions de la part du haut commandement des FARDC. Pourquoi alors tromper l’opinion publique? Que gagne le Congo dans les mensonges
A la différence des autres, l’Uganda et surtout le Rwanda s’étaient engagés un peu plus par rapport aux autres, comparativement aux l’efforts fournis. Ils ont ainsi abouti à un résultat concret que l’ingratitude leur jette de plein fouet sur le visage: la chute du dictateur le maréchal Mobutu Sese Seko Kukugbendu Wazabanga. Certes, il avaient tout intérêt, parce que, il voulaient éloigner les menace imminentes des forces négatives de LRA et des FDLR qui pesaient sur eux.
En effet, après le génocide perpétré au Rwanda en 1994 et la formation dans ce pays d’un nouveau Gouvernement, près de 1,2 million de Hutus rwandais, dont certains avaient pris part aux massacres, ont fui vers le Nord-Kivu et le Sud-Kivu, deux provinces limitrophes situées à l’est du Zaïre et peuplées par d’autres ethnies, notamment des Tutsis. En 1996, une insurrection dans cette région a conduit à des affrontements. Laurent-Désiré Kabila, très opportuniste, a Saisi l'instant propice pour faire des alliances avec le Rwanda et l’Uganda qui en avaient assez des attaque rebelles dont les bastions et le bases arrière se localisaient en RDC. Les forces de Laurent Désiré Kabila, appelées Alliance des forces démocratiques de libération du Congo (AFDL) appuyées par ses alliés, se sont emparées en 1997 de la capitale, Kinshasa, et ont rebaptisé le pays (Zaïre) République démocratique du Congo. Peu après, les choses sont redevenues comme auparavant créant ainsi des situations similaires aux précédentes, susceptible d’attirer, de gré ou de force, des interventions extérieures pour réprimer les rebellions en gestation. Ça va de soi. Et c’est ce jeu qui se joue jusqu’à présent.
Incapable d’assurer sa sécurité, il a fait appel à nouveau à d’autres forces d’autres. C’est ainsi que Le Zimbabwe, la Namibie et l’Angola, le Tchad ont été invite à leurs tours et ont pris part à ce théâtre devenu traditionnel en RDC.
Dans cet imbroglio, des saisies qui ont lieu pourraient donc facilement se justifier comme butin de guerre prise. Tous les pays qui ont pris part aux combats, en ont pris. Et même ceux qui n’ont pas participé directement en ont bénéficié. Pourquoi alors le Rwanda et l’Uganda doivent être le refrain de l’ahurissante chanson de lamentation de Congolais et des Français? Pourquoi le cas du Rwanda démange plus que les autres?
Aujourd’hui les effectifs de la MONUSCO ne font qu’augmenter et les mandats prolonger. Loin des attentes, les problèmes ne font que s’accumuler. Toutes ces armées, Plutôt que de sécuriser la population, elles réitèrent l’engagement au soutien au gouvernement kleptocratique et sa piètre armée, les FADC, cela va sans dire, les auteurs et commendataires des troubles et des massacres des communautés visées, à savoir, les Tutsi et le Hema.
Et s’ils faisaient front commun
Quelques communautés en RDC à savoir les Hema et le tutsi (ceux du Nord-Kivu- et les Banyamulenge du Sud-Kivu), subissent les affres d’un génocide que la communauté internationale tergiverse de reconnaitre. Est-ce de mauvaise foi ? Les critères ne suffisent-ils pour été qualifier ainsi ? L’histoire en dira plus long.
Quel que soit le nombre des décès que les statistiques de la RDC semblent ignorer et que celles de la communauté internationale minimise, toutes les conditions sont réunies pour nommer les atrocités qui se commettent dans l’Est de la RDC de génocide, conformément aux termes de la définition du mot.
Il faut noter que ce génocide, quoique se passe en trois provinces distinctes, il présente les mêmes caractéristiques.
1. C’est un génocide qui cible les communautés classées comme des non bantou,
2. Les groupes visés sont traités des outsiders pour ne pas dire des choses.
3. Ils sont tous éleveur et ont connu dans l’histoire une économie florissante laquelle a été convoité par les malins voisins
4. Ils sont massacrés par des milices des communautés voisines appuyées par les FRDC et Tous leurs efforts d’autodéfense sont vite découragés voir anéanti par l’intervention de la communauté internationale.
5. Ils ont vécu, et vivent encore un enchaînement d’attaques ayant entrainé de milliers de morts et conduit au déplacement de plusieurs dizaine d’autre à l’intérieur du pays tout comme à l’extérieur comme refugiés.
6. Le gouvernement n’a jamais ni poursuivi ni condamnés les assaillants.
7. Les médias publics ne dénoncent jamais ces atrocités
8. Aucune assistance de la part du gouvernement. Pas même une volonté de réhabiliter dans leurs villages
L’ONU est témoins des massacres, des lynchages, des tortures, des cannibalismes et des messages haineux à l’endroit de Tutsi mais ne fait rien pour les empêcher. Ce terme de Tutsi qui jadis désignait un peuple noble est aujourd’hui devenu une insulte. L’ONU pèche par omission. Va-t-elle enfin franchir le pas ?
Dans ses rapports, Il va de soi qu'une infime partie de la réalité est abordée surtout quand il faut enfoncer l’autodéfense de ces communautés mal aimées notamment Twirwaneho et le M23 dans leur réplique. Pour cette raison, on va même jusqu’à extrapoler de manière exponentielle leur contre-attaques. Mais quand il s’agit du côté adverse, il y a constipation des mots. Ces rapports manquent des éléments cruciaux concernant les abus des droits humains et le génocide susceptible de susciter une pression sur elle pour la pousser à agir. Il n'en reste pas moins que ces rapports permettent de découvrir les arcanes d'un monde auquel le grand public n'a généralement pas accès sous prétexte de préserver le secret. Plus de douze localités Banyamulenge sont devenues des déserts humains, ( Rurambo , Bijojwe, Bibangwa, Rubuga, Katanga, Magunda, Maheta, Kihuha, Bijombo, Kabara, Karumyo, Mibunda, et une Bonne Partie de la Périphérie de Bibokoboko, et de Minembwe). Chacune de ces localités avait une vingtaine de villages en moyenne qui ont été tous incendies. Pas un rapport de l’ONU. Mais il a fallu la destruction de la base de FDLR à Kishishe pour que le monde entier se soulève. Il a fallu une contrattaque à Kipupu pour que, pareil aux sauterelles, un nuage d’hélicoptères couvre et sillonne le ciel des Hauts plateaux. Disons-le, c’était le Haro sur le baudet !
Je voudrais m’adresser au Hema et Tutsi ; pourquoi ne vous métriez-vous pas ensemble pour faire front commun et faire valoir vos droits et vos revendications ? pour avoir vécu les mêmes souffrances, je pense que vous vous connaissez maintenant de plus en plus. Le même malheur qui unit mille fois que le même bonheur pourrait faire objet d’une solidarité entre vous.
Chaque jour on voit des images horribles, des gens qui sont mutilés, brûlés vives et pendues mains ligotées par derrière puis fouetté par des chaines attachées à un moteur qui tourne avec comme résultat en corps déchiqueté en lambeaux en quelques minutes. Le mot d’ordre a été donnée par le président lui-même et ses ministres sous des termes voilés. « Nous invitons tous les jeunes à être vigilants », une consigne apparemment inoffensive mais qui cache derrière lui un code invitant à exécuter, pareil à celui de « kora = travaillez » des Interahamwe en 1994. Pour éviter les condamnations, les FARDC pointent le doigt et donnent la bénédiction aux jeunes voyous des quartiers qui lynchent les militaires et policiers tutsi. Quant aux civiles, c’est déjà acquis, il faut tuer sans autre forme de procès.
Vous aurez beau crier à la communauté internationale, elle ne vous écoutera pas. Elle s’est déjà liguée contre vous. Il ne faut pas perdre de vu que l’ONU n’intervient jamais pour le faible et le pauvre, à moins qu’il soit parrainé par une puissance. Mais il ne cesse de produire de rapports maquillés de ses hauts faits
Le monde qui se dit développé est soucieux de problèmes écologiques crées par leurs usines. Il veut assurer la survie de ses progénitures à l’avenir. Une de solution est de ralentir voire diminuer la démographie et pourquoi pas gagner d’autres espaces. Une situation ou les indigènes s’entre-éliminent est une chance exceptionnelle, une manne qui tombe du ciel qui permet d’aboutir aux résultats souhaités sans avoir une conscience chargée quant aux méthodes utilisées. C’est la voie naturelle de la sélection naturelle aux termes de Darwin. A défaut, il faut intervenir biologiquement pour stabiliser l’explosion démographique. Voudriez-vous être de ceux qui vont être assainis ? Vous comprenez qu’attendre la communauté internationale venir vous réhabiliter dans vos droits ainsi terminer ses contrats est pure utopie. Elle est soucieuse de courtiser le gouvernement des kleptocrates de Kinshasa pour prolonger et élargir ses mandats.
Votre union est la seule voie de sortie, car elle vous donne la force de faire face. Il a fallu prendre Kichanga que on entende certaine individue adoucir le langage pour enfin suggérer les négociations. Bravo ! continuez dans le même sens.
Ne cédez pas à une pression qui vise à anéantir, mai accélérez plutôt la vôtre pour les ramener à la raison. Négociez individuellement avec les pays et des personnalités influentes des pays puissants. La diplomatie est une arme puissante redoutable. Restez inclusifs, toutefois ne commettez pas les erreurs de l’AFDL en vous plaçant dans les rôles de seconde zone. Votre recul est une erreur fatale, votre avancée, un rieur d’espoir. La liberté s’arrache mais il y a un prix à payer. Unissez-vous et vous y parviendrez. Mais hélas ! Trois petits groupes isolés les uns des autres, sous le joug d’un pouvoir oppresseur, qui ne fait qu’étouffer toute initiative d’organisation, je vous jure, la route est parsemée d’embuches. Mais je vous souhaite Bonne Chance.
le 29 janvier 2023
Kommentare